TOP 5 de las NOTICIAS MAS LEIDAS de este Blog
Abajo -doc n°2- para preguntarlas, por ejemplo (y con los meses de publicacion)
doc 2: titulos y meses de las 5 noticias, pero hay muchos mas que leer...
-----
Ma pensée sur la Mémoire et les agissements de ceux qui détruisent des preuves et archives, comme les administrateurs de Septfonds en 1945 ou leurs "héritiers" de 2018, qui n'ont aucun problème à détériorer les traces du passé, ces brutes irrespectueuses et sauvages !
Ceux de 45 ont donc faits des fistons parmi ces quelques éleveurs porcins et élus municipaux qui préfèrent le lisier à l'histoire, au coeur aussi. Ces scandaleux personnages, mal éduqués, ont imaginé sans le moindre scrupule, étendre un élevage intensif et anti-écologique sur le site même d'un camp de concentration.:
PIG-Brother enfant de BIG-Brother !
La mémoire est une arme, pour les luttes d'aujourd'hui et celles du futur. Avec ses bras (force de travail), c'est le seul autre patrimoine du pauvre et du salarié. La scandaleuse incinération des documents de Septfonds en 1945 -du vandalisme pur- est caractéristique d'un esprit qui malheureusement perdure. C'est la survivance du pétainisme et même, juste après sa soi-disant défaite. On a vaincu les hommes, on n'a pas fait reculer leurs idées, hélas!.. Il ne faut pas oublier que Septfonds fut d'abord un camp de concentration pour républicains espagnols (et ouvert par la IIIème -prétendue-République, celle des radicaux et radicaux-socialistes ) et le fut concomitamment et ensuite (période Vichy) pour d'autres communautés, dont les juifs. Il fut même, après la Libération, un camp de détention pour collabos. En 45, ces criminels vandales des nouvelles autorités locales étaient peut-être (pour eux) issus de la bataille contre l'occupation, mais par nationalisme anti-occupant étranger et pas tous contre le fascisme-nazisme. Peut-être que ceux de Septfonds étaient dans ce cas là, ou peut-être n'étaient-ils pas fiers de ce qu'avait fait la France dès 38-39 et ont voulu effacer ces souvenirs là. In fine, ils continuaient l'oeuvre du fascisme international de disparition des preuves . A borrar los nombres, comme ceux des 13 roses de Madrid et d'autres dont on jeta les corps dans las fosas, dont on vola les enfants pour rompre la chaîne et la mémoire, dont on rasa les maisons pour qu'ils disparaissent et des souvenirs des voisins et du paysage du quartier ou pueblo, pourque disparaisse leur existence comme avec le Nuit et Brouillard nazi, et LEURS COMBATS aussi. Voila, tout est dans ce dernier mot!
On tente de nous faire oublier qu'il y eut des combats contre les idées malfaisantes, les pratiques fascistes ou capitalistes, on veut donner à croire aux masses d'aujourd'hui qu'il n'y a pas une seule autre alternative, qu'autre chose est irréaliste et utopie. En supprimant hommes et archives on veut effacer aussi des mémoires toutes les conquêtes populaires, pour que nul n'ose y faire référence. C'est la peur qu'on veut instaurer - au petit niveau local, comme à Septfonds ou dans un pueblo español: "Qui ose sera châtié, sa famille aussi !" Et on réprime, et on tue, et on rase pour faire des exemples, que cela serve de leçon aux irréductibles révolutionnaires. Et voilà où je voulais en venir sur l'esprit "Kollabo" et des lettres de délation, des remarques racistes, qui perdure si bien en France. Pour preuve, nous avons même à la tête de l'Etat des champions de la traitrise: 1 président Macron, traitre à Hollande, un 1er ministre traitre à son parti, comme est traitre à son parti l'actuel président de l'Assemblée.. Bref, ces gens là, en dépit de discours médiatisés (du blabla), sont des héritiers de ces comportements et mentalités et continuent dans cet esprit vicelard. Ils ne reconnaissent donc rien des saloperies du passé pour qu'eux-mêmes n'aient pas à se justifier -ni à comparer- pour leurs propres agissements. 2 exemples seulement: ils bouzillent les acquis des combats ouvriers... détruisent le code du travail, tout comme les gouvernements revanchards de droite et Pétain le firent après le Front populaire... Ils agissent avec les étrangers réfugiés de la même façon que le firent avec nos pères, des Daladier et des Sarraut. Pourquoi voulez-vous donc qu'ils aident à ce que nos fistons aient de la mémoire et sachent qu'il y eut des expériences réussies, des luttes victorieuses en la calle o el taller, prouvant qu'il est possible d'aller contre toujours plus de marche vers la marchandisation, le capitalisme et autoritarisme? Orwell a écrit "1984", et son héros était chargé par le gouvernement de Big-Brother de détruire les archives, d'amputer la mémoire (il jetait dans des"trous de mémoire" les éléments qu'il retirait), et c'était pour mieux soumettre les populations sans passé. Il savait tout, le petit père Orwell !
... Du lisier, une porcherie industrielle sur le site même du camp de concentration de Septfonds, ce projet de brutes incultes et d'édiles locaux préoccupés de fric plus que tout, n'ayant aucun respect, ni humanité ou éducation est révélateur de la persistance des idées nauséabondes. Il est la métaphore de ce mode de non-pensée et d'abrutissement. Pour le coup, c'est PIG- Brother !... ARRËTONS- LES !
Philippe Guillen, 05/02/2018
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire