dimanche 16 décembre 2018


PIF "tient meeting"... à la CGT, pardi !


Mardi 18 décembre, 19h.,Toulouse-centre : salle Jean Jaurès, Bourse du Travail, lieu de mémoire et patrimoine de la classe ouvrière de la ville rose.


lundi 10 décembre 2018


MACRON ET VIEILLES FICELLES


Lundi 10 décembre, à 30 minutes de l'allocution du zigue Jupiter :

Ce qui se passe aujourd'hui, l'invitation des représentants syndicaux par le banquier Macron, me rappelle quelque chose: une très vieille ficelle de Georges Clémenceau pour diviser les mécontents, les enfumer. En 1907, Clémenceau invitait à Paris au prétexte de négociations, Marcelin Albert, leader de la révolte des vignerons du Midi; il lui paya le train et un bon repas... et s'empressa de faire connaître le tout (soit-disant par la bande). Et quand le pauvre Marcelin arriva chez lui, en gare de Béziers, il était "grillé" et plus personne ne l'écoutait plus. Lui qui avait mangé à la table du "tigre", on le traitait de "vendu". Aujourd'hui, en ces temps de rumeurs complotistes, de médisances orchestrées à l'encontre des syndicats et parfois d'absence de réflexion, Macron a mieux que ce dont disposait alors Clémenceau pour répandre mensonges et rumeurs nauséabondes: le net, twitter, facebook, et ainsi diviser pour règner. Gageons que notre banquier-président trouvera aussi quelques relais pour mener sans discernement - le tous pourris!- campagne contre le syndicalisme.

Et plus je réfléchis sur ce qui se passe et plus la manipulation macroniste façon Clemenceau me paraît plausible ( et notons le, cette manoeuvre épargne très bizarrement la Marine).
Je rappellerai donc encore que le vieux Tigre (inspirateur de Manuel Valls, son meilleur fan) fut un grand spécialiste de la lutte antisyndicale en usant et abusant de la répression et, pour la justifier, de l'utilisation des "mouchards", "taupes" ou autres agents provocateurs (ancêtres de nos fameux "casseurs" et black blocs). Qui a travaillé aux Archives et mis le nez dans les fonds de la série 4M de police le sait très bien. Partout des mouchards ou révolutionnaires extrémistes qui donnant des leçons de révolte poussaient à la faute. Le plus célèbre d'entre eux étant peut-être l'agent Luc Métivier qui permit au vieux Georges  -aussi surnommé : l'« Empereur des mouchards » - de décapiter la direction de la CGT lors des grandes grèves des ouvriers des sablières de Draveil-Vigneux en 1908.




dimanche 2 décembre 2018


Le banquier et les couleurs ! 

GILLETS JAUNES




No me hable más de chalecos amarillos sino de la camiseta azul (del equipo de Francia). ¡ Somos campeones del mundo, Joder !




Ce dessin et cette Vidéo (ci-dessous, si elle n'est pas censurée) montrant la socialiste Carole Delga, Présidente de la Région Occitanie-Languedoc accueillie par des Gilets Jaunes alors qu'elle allait inaugurer un Salon de la Gourmandise (sic !) .



Et ce que j'en dis :



Comme d'hab., Delga a tout compris à rien ! Elle te cause toujours de la France, celle dessinée sur la carte michelin, alors qu'on lui parle des français en France, de ce qu'est la vie quotidienne de ses concitoyens à chercher deux sous pour payer son pain et non des gugus en photo sur la Une du Figaro-Magazine dont elle croit béatement qu'ils sont l'image de la France... Et comme elle a l'habitude d'être écoutée religieusement par ses copains d'hémicycle, en dame qui fait la leçon, elle ne supporte pas que le petit peuple rassemblé lui explique ce qu'elle ne connait pas. Micro en pogne, elle voudrait se victimiser et croit pouvoir retourner la situation:"Vous ne m'écoutez pas!", alors que c'est elle qui n'écoute rien! Sans doute, rentrée chez, va-telle longuement se savonner pour avoir été ainsi confrontée au menu peuple des gueux et aux réalités... C'est vrai qu'il y a pire qu'elle, mais voilà où nous en sommes à toujours accepter le "par défaut". A se résigner au moins pire on n'empêche pas la situation d'empirer. C'est de ça dont crève!.. Pacifiquement, ces français là proposent de retourner aux élections qu'entraînerait le départ du président : quoi de plus démocratique ? Pourquoi donc Delga refuse-t-elle d'envisager cette alternative ? Serait-ce que la révocation par les urnes des élus qui ne donnent pas ou plus satisfaction la gêne ? Comme le disait "avant hier" un certain candidat aux présidentielles: "il n'y a pas d'immunité ouvrière", si un salarié ne donne pas satisfaction, son patron le vire sine die (et pour lui il va être question de survie, du quoi bouffer maintenant), un député ou autre élu qui ne remplit pas son contrat, il faut attendre... et il sera indemnisé, aura une retraite d'élu. 2 poids 2 mesures. C'est aussi de ça dont on crève. Quant à son argument qu'elle imagine couperet à faire taire le contradicteur, son si Macron démissionnait, mais... "ça déstabiliserait le pays !" il ne tient pas la route: et d'un, parce qu'il y a belle lurette que le pays est déstabilisé et s'y enfonce (preuve qu'elle ne sait rien des réalités), et 2, que c'est Macron, les siens et ses complices, qui déstabilisent et non l'inverse.

Faute de la vidéo promise, ce sera donc une photo, celle du "combat de doigts"
C.Delga / Gilet Jaune : ( + Texte et autre dessin "coup de gueule" au dessous)



Mardi, 4 décembre 2018, coup de gueule:


Sorti du boulot à 17h 15, je marche, je marche et me voici à peine chez moi, 2h après, 19h 15. Toulouse sans Métro, sans Tram ni même bus, c'est toute une ville colère. C'était et LA TRAVERSEE DE TOULOUSE, et la TRAVERSEE DE BLAGNAC. Le banquier-président prétendait être "en marche". Eh bien, oui il - car c'est bien lui le responsable, son pèze et tous ses valets !- il nous met en marche, le fou, et ça va chauffer. Qu'il sache bien qu'il a fait de nous tous des Forest-Gump- et explosé le Tom Hanks!- tous ensemble, tous, on va marcher, sans s'arrêter, et on va même lui marcher dessus. Sans violence mais avec DETERMINATION. "










samedi 1 décembre 2018



PIF el perro  y CABRERO ARNAL

                   à TOULOUSE


2 dates toulousaines : samedi 8 et mardi 18 décembre 2018.

Le 8 à la Librairie de La Renaissance, Basso combo-Le Mirail (terminus du métro)


  


Le mardi 18 décembre, 19h
à la Bourse du Travail , 

Place St Sernin
Toulouse-centre

En la salle Jean Jaurès où Marcelino Camacho
fut accueilli à sa sortie des prisons franquistes 
par une foule nombreuse, au point qu'on était 
sur les marches extérieures, et dans un silence 
sur cette place dont l'ado que j'étais se souvient
encore: !Habla Marcelino!